Pour une solidarité numérique : les IA et robots doivent cotiser
En 1936, le Front Populaire proclamait : « Le peuple français a affirmé sa résolution de rechercher dans des voies nouvelles les remèdes de la crise qui l'accable, le soulagement de souffrances ». Léon Blum promettait un « régime de retraites garantissant contre la misère les vieux travailleurs des villes et des campagnes », financé par les cotisations de tous ceux qui créent la richesse.assemblee-nationale
Près d'un siècle plus tard, Glitch Publishing reprend ce combat pour notre ère : les intelligences artificielles et les robots qui remplacent le travail humain doivent cotiser à la sécurité sociale.
Lorsqu'un salarié produit une valeur de 10 000 €, il génère 1 200 € de cotisations sociales pour financer notre modèle social. Mais quand une IA générative effectue le même travail, elle ne génère plus que 120 € de cotisations. Cette distorsion menace l'édifice même de notre protection sociale, bâti en 1936 sur le principe de solidarité collective.miroirsocial
Les accords de Matignon de 1936 reconnaissaient que toute création de richesse doit contribuer à l'effort commun. Aujourd'hui, 35% des entreprises françaises utilisent déjà l'IA, et celle-ci pourrait supprimer 220 000 emplois en France. Où sont les cotisations ?facebook+3
Comme le disait Léon Blum : nous devons « fournir un peu de bien-être et de sécurité à tous ceux qui créent, par leur travail, la véritable richesse ». Cette richesse est désormais aussi créée par les machines. Un automate = 10 cotisations sociales. Pour que la technologie soutienne la société au lieu de l'appauvrir.petitions.assemblee-nationale+1
Les travailleurs de 1936 ont gagné les congés payés, les 40 heures et les conventions collectives. Nous, créateurs de 2025, devons gagner la contribution numérique. Pour refinancer la protection sociale, financer la reconversion des personnes dont le métier est automatisé, et garantir que « la machine n'efface jamais l'humain ».journal.ccas+3
Cette proposition fait déjà l'objet de pétitions à l'Assemblée nationale et au CESE. Le débat s'ouvre mondialement, de Bill Gates au Parlement européen.umr-retraite+4
Glitch Publishing milite pour cette justice sociale du XXIe siècle : taxation de l'automatisation, cotisations sur les IA, solidarité entre humains et machines.
Comme en 1936, il s'agit de « préserver les libertés démocratiques » et d'assurer que le progrès technique profite à tous, pas seulement à quelques-uns. Le pain, la paix, la liberté — et maintenant, la contribution numérique.assemblee-nationale
Pour que notre modèle social survive à la révolution de l'IA.
Seb Joncoux et Perplexity AI
Glitch Publishing
L'avantage d'être à la forge, c'est qu'on ne perçoit pas la canicule.