Pour une solidarité numérique : les IA et robots doivent cotiser En 1936, le Front Populaire proclamait : « Le peuple français a affirmé sa résolution de rechercher dans des voies nouvelles les remèdes de la crise qui l'accable, le soulagement de souffrances ». Léon Blum promettait un « régime de retraites garantissant contre la misère les vieux travailleurs des villes et des campagnes », financé par les cotisations de tous ceux qui créent la richesse. assemblee-nationale Près d'un siècle plus tard, Glitch Publishing reprend ce combat pour notre ère : les intelligences artificielles et les robots qui remplacent le travail humain doivent cotiser à la sécurité sociale . Lorsqu'un salarié produit une valeur de 10 000 €, il génère 1 200 € de cotisations sociales pour financer notre modèle social. Mais quand une IA générative effectue le même travail, elle ne génère plus que 120 € de cotisations. Cette distorsion menace l'édifice même de notre protection sociale, bâti en...